Comment aller plus loin dans le traitement des eaux ?

Si l’on continue à faire comme si l’eau était une ressource inépuisable et illimitée, on risque un beau jour de voir l’humanité en souffrir dans son ensemble. C’est de ce constat que sont partis les puissants de ce monde pour se dire qu’il était grand temps de se réunir pour agir de concert dans le respect des ressources naturelles, dont l’eau. Avec le réchauffement du climat au niveau planétaire, les niveaux des océans et des mers varient, et vont être amenés à varier encore plus au fil des décennies à venir. Certaines contrées subissent déjà fortement les conséquences de ce phénomène, en particulier à cause des flux parfois trop importants des rivières et des fleuves. 

Traiter les eaux usées

L’eau, dans les pays où l’on vit le plus confortablement au monde, coule normalement dès que l’on tourne un robinet. Pour nous c’est une évidence, nous sommes nés avec ce confort de vie et nous ne le remettons en question que le jour où l’eau est sale ou quand il y a une coupure due à une fuite sur le réseau. Autant dire qu’il n’y a que peu d’occasions de manquer d’eau pour nous occidentaux. En effet nous avons, au fil du temps, appris non seulement à domestiquer l’eau, mais aussi à l’assainir. Des sociétés comme EMO ont appris à la rendre potable, pour que nous puissions la boire en toutes circonstances. Rares sont d’ailleurs encore les lieux où l’eau qui est mise à notre disposition est notifiée non-potable

Aider au respect de l’environnement

Ce que font les entreprises qui se chargent du traitement de l’eau, c’est aussi de récupérer les boues générées par les industries comme par les différentes activités humaines, d’en extraire l’eau et d’éliminer au maximum de celle-ci tout ce qui peut la polluer et, avec elle, le reste des écosystèmes dans lesquels elle est susceptible de se déverser ensuite. Cela revêt une importance de taille à hauteur de toute notre société : avec des réseaux d’eau saine, la nature peut se développer, fournir des ressources et donc permettre à l’agriculture comme à la pisciculture de pouvoir regarder l’avenir avec sérénité. 

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