Lorsque nous évoquons le domaine des performances énergétiques, nous pensons immédiatement aux particuliers. Ils peuvent s’attarder sur les nouvelles politiques afin de dynamiser leur quotidien tout en supprimant les déperditions de chaleur. Ils ne sont toutefois pas les seuls, car les bâtiments publics sont également sous le feu des projecteurs.
Vos fenêtres peuvent être à l’origine d’une consommation très forte
Les foyers sont nombreux à se focaliser sur la performance énergétique des fenêtres, car ces ouvertures peuvent être la cause d’une dépense colossale surtout si vous avez un chauffage électrique. La chaleur aura tendance à sortir par les fuites d’air tout en augmentant le coût de votre consommation. Un remplacement ou une rénovation est à envisager dans les plus brefs délais en vous rapprochant des artisans RGE. Ces derniers ont la particularité d’être compatibles avec le crédit d’impôt.
Le remplacement de vos fenêtres par un professionnel RGE est nécessaire
Si vous avez le souhait de demander une aide à l’État, sachez que seuls les professionnels qui mettent en avant ce label pourront vous épauler dans vos rénovations ou vos installations. Ils ont un savoir-faire intéressant en termes d’efficacité énergétique au même titre que les connaissances. Grâce à ces dernières, il aura notamment la capacité de vous conseiller sur les matériaux à privilégier. L’objectif premier consiste à rendre votre logement beaucoup moins gourmand et un peu plus pratique.
D’ici 2020, les bâtiments publics devront améliorer leurs performances énergétiques
Cette problématique est également au cœur des attentes des bâtiments publics puisqu’ils doivent améliorer rapidement les performances énergétiques. Les propriétaires d’hôtels, de commerces ou encore de bureau doivent procéder à des travaux, car ils sont invités à réduire de 25 % la consommation énergétique de ces bâtisses. Ils doivent atteindre cet objectif d’ici la fin 2020, cette mesure est largement critiquée, elle serait surréaliste au vu des travaux nécessaires pour certains établissements. C’est une étude du Conseil Supérieur de la construction et de l’efficacité énergétique qui a pointé du doigt ce rapport dévoilé au début du mois de Mai.