Lorsque les premiers symptômes apparaissent, il est nécessaire de consulter au plus vite un spécialiste. Parfois, malgré cette réactivité, il est difficile d’agir. Les médecins ont donc décidé de mettre au point une nouvelle méthode.
Une technique prometteuse qui ne remplace pas une consultation chez le cardiologue
C’est la revue Science Translational Medicine qui a dévoilé cette technique fraîchement découverte par des chercheurs. Ils ont pu détecter l’inflammation des artères avec une certaine précocité. C’est un point important, car il serait possible de détecter un problème assez tôt. La consultation chez un cardiologue à Carcassonne ou à Paris serait toujours essentielle puisque ce professionnel sera en mesure de vous fournir un traitement en adéquation avec cette maladie cardiovasculaire.
Un diagnostic basé sur des cellules de graisse à proximité des artères
Aujourd’hui, la médecine peut détecter un tel problème, mais en se focalisant sur les artères qui ont subi des dommages. Ces derniers sont irréversibles, les chercheurs estiment qu’il est nécessaire d’être beaucoup plus précoce lors du diagnostic. Cela éviterait ainsi à ces artères d’être détérioré. Ils ont découvert qu’il est possible d’évaluer le changement des cellules de graisses qui sont présentes autour de ces fameuses artères. Pour cela, il suffirait d’utiliser un scanner. Le diagnostic peut ensuite être réalisé grâce à une observation assez précise.
Reconnaître les symptômes d’une crise cardiaque
Lorsqu’une artère est enflammée, la graisse n’est pas aussi adipeuse. Ce phénomène a été observé à de nombreuses reprises. C’est donc une technique prometteuse qui pourrait améliorer la santé des individus dans les prochaines années. D’autres expériences sont nécessaires pour valider définitivement les résultats de cette découverte. En attendant, il est judicieux d’apprendre à reconnaître tous les symptômes annonciateurs d’une crise cardiaque, cela augmente considérablement les chances de survie. Les premières minutes sont souvent les plus importantes pour le patient.